Natali, Comédi ordinaire au conditionnel
- ParS1mio-mustyk
- Mar, 29, 2018
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Natali, presque platine, portait souvent du rouge à lèvres couleur exotiquosombre lui allait bien et ses yeuxespacevideviden’avaient pas (tout à fait) la douceur , ni son tempérament.
espacevidevide la douceur, ni son tempérament. bien qu’elle sût se montrer gentille. Plus je la voyais, plus je la trouvais belle. Son abrupte conversation me plaisait : je compose son nom à un degré d’illumination atteint lorsqu’elle s’offrit à moi ; sa nuque recelait une odeur boisée et sa voix un charme chantant la vulgarité aussi bien que les élans sublimes.
À cette période de l’année le nacre se liquéfiait sur la puanteur de l’asphalte :espacevidevideJ’écrivis que nous fîmes l’amour, eût-ce été vrai, je ne lui écrirais telle pièce pour la sauter la prochaine fois. Pas un jour sans regretter de n’avoir glissé les bretelles de son débardeur le long de ses épaules…
lol.
espacevidevideen vérité bien moins sentimental que je ne me plais à le croire, bien des putes me consolèrent (et de moi elles gardent le même souvenir).
Fragments du moment #15, Références et plagiats
- Béni celui qui réveille les puits endormis car il puise à la source des songes.
- Cha va mal finir cthistoire je sens qu’à la fin il y en a un qui va finir cloué sur un grand bout de bois.
- La soirée du siècle on en parlera encore deux/trois milliers d’années plus tard.
- Le RSA pour un poète semble les prytanées modernes.
- Enchanté, pauvre, c’est ma profession.
- Zizi zizi y a des zizis dans mon pompier !