L’après balle

Un courant d’air traverse la tête, suit la balle. Il y a au moins de l’air, des sensations. Au loin la balle, lancée pour un tour du monde, sifflote encore. Il n’y avait pas lieu d’y croire alors… Se satisfaire de l’effleurement dont la source est impalpable, voilà qu’on subsiste malgré soi. Se satisfaire d’une pousse végétale qui n’offre nul fruit, que de la couleur, qui plus est pâle, et c’est déjà quelque chose, après l’explosion et ses gammas. Le blizzard nullement comblé de ses hurlements en série gueulés de part en part des plaines blanches, s’est permis insolemment de s’engouffrer dans la caverne et PUISSANT il percute les dernières flammèches heureuses /rappelle-toi de salamèche sous la pluie / ou non ce serait fabuler, elles sont plutôt délivrées d’être arrivées au terme de leur tango éprouvant. Leurs pas de danse… résumons sèchement cela au vol d’une tulipe – part 2 – la part 1 est delete après infection – tulipe non pas zdamée par le vent mais forcée de se joindre à un bouquet. Qu’une tulipe et rien d’autre, une tulipe pas trop cousine avec les fleurs du mal, une tulipe – une tige un turban basta – qu’il faut vulgariser froidement pour que l’on se comprenne bien, pour que je me convaincs bien. Rationaliser pour éviter les remous. Leur dernier pas fût balourd comme du PLOMB. Qu’il fût aisé de virevolter quand le printemps avait un goût de printemps : puis vint le givre odeur cendre. À quoi les flammes se sont-elles accrochées avant de décrocher ? À l’espoir lorsqu’elles y croyaient. Puis à l’épuisement de leur vanité elles se sont tues. Les jambes une paire de ciseaux rouillées / rappelle-toi ces découpages gauches, pas trop sur le trait / quant aux doigts ils sont abasourdis ou déjà en after de choc, bleus comme bleus, s’agiter non, non. Pour peu ils se retrouveraient au sol à se confondre avec les vers, creusant dans la terre afin de rejoindre le noyau bouillant ; les vers les observeraient hébétés. Non les mains y tiennent trop et qu’importe qu’il n’y ait plus ces doigts étrangers à effleurer, il y a ce courant d’air.
Les alentours dévastés ne tourmentent pas les esprits qui rôdent et se rodent à la fin bien qu’ils ne l’attendent plus, peut-être est-elle déjà passée, genre hier matin. La fin peut passer comme un rider UPS. Les arbres qu’un vertébré passant par-là ne saurait dire si en eux coule de la sève ou du goudron, s’ils vivent ou s’ils ne restent que des troncs écorchés où cheminent des mites aux abois, sont comme des potences. Leur façade feinte mais un globe jeté en leur sein suffit pour remarquer que leur tapisserie se décolle, qu’elle s’arrache en un pincement et en lambeaux elle se tasse dans le fond, laissant sur les murs livides apparaître des plaies. Bois mort, accueillant champignons et insectes PRONONÇANT des incantations divines que la brise qui cisaille transporte. Bois mort qui ne prête attention. Interlude de pluie. Les flaques sont des miroirs, les miroirs sont affreux, reflètent nombre de mensonges. Et la crainte, celle qui fait chuter les yeux comme deux pommes, celle qui anime la tête à l’idée terne, ce genre d’ampoule à basse consommation, que la foule remarquerait, en un regard, la prairie derrière le voile, plus vraiment prairie, devenue décharge, qu’à leur groin s’amasserait cette grasse odeur émanant du col de pneus en feu, tandis que des cafards dealeraient du câble et de l’électronique. Malheureusement un clavier sur lequel ne se trouvent plus les touches A R T U O M ne se fourgue pas en un claquement de doigts. Mais bon les doigts ne bougent plus. Plus trop besoin de clavier. Finalement intéressé.

Se satisfaire de l’effleurement dont la source est impalpable, voilà qu’on subsiste malgré soi. Se satisfaire d’une pousse végétale qui n’offre nul fruit, que de la couleur, qui plus est pâle, et c’est déjà quelque chose, après l’explosion et ses gammas. Le blizzard nullement comblé de ses hurlements en série gueulés de part en part des plaines blanches, s’est permis insolemment de s’engouffrer dans la caverne et PUISSANT il percute les dernières flammèches heureuses /rappelle-toi de salamèche sous la pluie / ou non ce serait fabuler, elles sont plutôt délivrées d’être arrivées au terme de leur tango éprouvant. Leurs pas de danse… résumons sèchement cela au vol d’une tulipe – part 2 – la part 1 est delete après infection – tulipe non pas zdamée par le vent mais forcée de se joindre à un bouquet. Qu’une tulipe et rien d’autre, une tulipe pas trop cousine avec les fleurs du mal, une tulipe – une tige un turban basta – qu’il faut vulgariser froidement pour que l’on se comprenne bien, pour que je me convaincs bien. Rationaliser pour éviter les remous. Leur dernier pas fût balourd comme du PLOMB. Qu’il fût aisé de virevolter quand le printemps avait un goût de printemps : puis vint le givre odeur cendre. À quoi les flammes se sont-elles accrochées avant de décrocher ? À l’espoir lorsqu’elles y croyaient. Puis à l’épuisement de leur vanité elles se sont tues. Les jambes une paire de ciseaux rouillées / rappelle-toi ces découpages gauches, pas trop sur le trait / quant aux doigts ils sont abasourdis ou déjà en after de choc, bleus comme bleus, s’agiter non, non. Pour peu ils se retrouveraient au sol à se confondre avec les vers, creusant dans la terre afin de rejoindre le noyau bouillant ; les vers les observeraient hébétés. Non les mains y tiennent trop et qu’importe qu’il n’y ait plus ces doigts étrangers à effleurer, il y a ce courant d’air.
Les alentours dévastés ne tourmentent pas les esprits qui rôdent et se rodent à la fin bien qu’ils ne l’attendent plus, peut-être est-elle déjà passée, genre hier matin.

d’une pousse végétale qui n’offre nul fruit, que de la couleur, qui plus est pâle, et c’est déjà quelque chose, après l’explosion et ses gammas. Le blizzard nullement comblé de ses hurlements en série gueulés de part en part des plaines blanches, s’est permis insolemment de s’engouffrer dans la caverne et PUISSANT il percute les dernières flammèches heureuses /rappelle-toi de salamèche sous la pluie / ou non ce serait fabuler, elles sont plutôt délivrées d’être arrivées au terme de leur tango éprouvant. Leurs pas de danse… résumons sèchement cela au vol d’une tulipe – part 2 – la part 1 est delete après infection – tulipe non pas zdamée par le vent mais forcée de se joindre à un bouquet. Qu’une tulipe et rien d’autre, une tulipe pas trop cousine avec les fleurs du mal, une tulipe – une tige un turban basta – qu’il faut vulgariser froidement pour que l’on se comprenne bien, pour que je me convaincs bien. Rationaliser pour éviter les remous. Leur dernier pas fût balourd comme du PLOMB. Qu’il fût aisé de virevolter quand le printemps avait un goût de printemps : puis vint le givre odeur cendre. À quoi les flammes se sont-elles accrochées avant de décrocher ? À l’espoir lorsqu’elles y croyaient. Puis à l’épuisement de leur vanité elles se sont tues. Les jambes une paire de ciseaux rouillées / rappelle-toi ces découpages gauches, pas trop sur le trait / quant aux doigts ils sont abasourdis ou déjà en after de choc, bleus comme bleus, s’agiter non, non. Pour peu ils se retrouveraient au sol à se confondre avec les vers, creusant dans la terre afin de rejoindre le noyau bouillant ; les vers les observeraient hébétés. Non les mains y tiennent trop et qu’importe qu’il n’y ait plus ces doigts étrangers à effleurer, il y a ce courant d’air.
Les alentours dévastés ne tourmentent pas les esprits qui rôdent et se rodent à la fin bien qu’ils ne l’attendent plus, peut-être est-elle déjà passée, genre hier matin. La fin peut passer comme un rider UPS. Les arbres qu’un vertébré passant par-là ne saurait dire si en eux coule de la sève ou du goudron, s’ils vivent ou s’ils ne restent que des troncs écorchés où cheminent des mites aux abois, sont comme des potences. Leur façade feinte mais un globe jeté en leur sein suffit pour remarquer que leur tapisserie se décolle, qu’elle s’arrache en un pincement et en lambeaux elle se tasse dans le fond, laissant sur les murs livides apparaître des plaies. Bois mort, accueillant champignons et insectes PRONONÇANT des incantations divines que la brise qui cisaille transporte. Bois mort qui ne prête attention. Interlude de pluie. Les flaques sont des miroirs, les miroirs sont affreux, reflètent nombre de mensonges. Et la crainte, celle qui fait chuter les yeux comme deux pommes, celle qui anime la tête à l’idée terne, ce genre d’ampoule à basse consommation, que la foule remarquerait, en un regard, la prairie derrière le voile, plus vraiment prairie, devenue décharge, qu’à leur groin s’amasserait cette grasse odeur émanant du col de pneus en feu, tandis que des cafards dealeraient du câble et de l’électronique. Malheureusement un clavier sur lequel ne se trouvent plus les touches A R T U O M ne se fourgue pas en un claquement de doigts. Mais bon les doigts ne bougent plus. Plus trop besoin de clavier. Finalement intéressé.

ce courant d’air.
Les alentours dévastés ne tourmentent pas les esprits qui rôdent et se rodent à la fin bien qu’ils ne l’attendent plus, peut-être est-elle déjà passée, genre hier matin. La fin peut passer comme un rider UPS. Les arbres qu’un vertébré passant par-là ne saurait dire si en eux coule de la sève ou du goudron, s’ils vivent ou s’ils ne restent que des troncs écorchés où cheminent des mites aux abois, sont comme des potences. Leur façade feinte mais un globe jeté en leur sein suffit pour remarquer que leur tapisserie se décolle, qu’elle s’arrache en un pincement et en lambeaux elle se tasse dans le fond, laissant sur les murs livides apparaître des plaies. Bois mort, accueillant champignons et insectes PRONONÇANT des incantations divines que la brise qui cisaille transporte. Bois mort qui ne prête attention. Interlude de pluie. Les flaques sont des miroirs, les miroirs sont affreux, reflètent nombre de mensonges. Et la crainte, celle qui fait chuter les yeux comme deux pommes, celle qui anime la tête à l’idée terne, ce genre d’ampoule à basse consommation, que la foule remarquerait, en un regard, la prairie derrière le voile, plus vraiment prairie, devenue décharge, qu’à leur groin s’amasserait cette grasse odeur émanant du col de pneus en feu, tandis que des cafards dealeraient du câble et de l’électronique. Malheureusement un clavier sur lequel ne se trouvent plus les touches A R T U O M ne se fourgue pas en un claquement de doigts. Mais bon les doigts ne bougent plus. Plus trop besoin de clavier. Finalement intéressé.

Bois mort, accueillant champignons et insectes PRONONÇANT des incantations divines que la brise qui cisaille transporte. Bois mort qui ne prête attention. Interlude de pluie. Les flaques sont des miroirs, les miroirs sont affreux, reflètent nombre de mensonges. Et la crainte, celle qui fait chuter les yeux comme deux pommes, celle qui anime la tête à l’idée terne, ce genre d’ampoule à basse consommation, que la foule remarquerait, en un regard, la prairie derrière le voile, plus vraiment prairie, devenue décharge, qu’à leur groin s’amasserait cette grasse odeur émanant du col de pneus en feu, tandis que des cafards dealeraient du câble et de l’électronique. Malheureusement un clavier sur lequel ne se trouvent plus les touches A R T U O M ne se fourgue pas en un claquement de doigts. Mais bon les doigts ne bougent plus. Plus trop besoin de clavier. Finalement intéressé.
Un courant d’air traverse la tête, suit la balle. Il y a au moins de l’air, des sensations. Au loin la balle, lancée pour un tour du monde, sifflote encore. Il n’y avait pas lieu d’y croire alors… Se satisfaire de l’effleurement dont la source est impalpable, voilà qu’on subsiste malgré soi. Se satisfaire d’une pousse végétale qui n’offre nul fruit, que de la couleur, qui plus est pâle, et c’est déjà quelque chose, après l’explosion et ses gammas. Le blizzard nullement comblé de ses hurlements en série gueulés de part en part des plaines blanches, s’est permis insolemment de s’engouffrer dans la caverne et PUISSANT il percute les dernières flammèches heureuses /rappelle-toi de salamèche sous la pluie / ou non ce serait fabuler, elles sont plutôt délivrées d’être arrivées au terme de leur tango éprouvant. Leurs pas de danse… résumons sèchement cela au vol d’une tulipe – part 2 – la part 1 est delete après infection – tulipe non pas zdamée par le vent mais forcée de se joindre à un bouquet. Qu’une tulipe et rien d’autre, une tulipe pas trop cousine avec les fleurs du mal, une tulipe – une tige un turban basta – qu’il faut vulgariser froidement pour que l’on se comprenne bien, pour que je me convaincs bien. Rationaliser pour éviter les remous. Leur dernier pas fût balourd comme du PLOMB. Qu’il fût aisé de virevolter quand le printemps avait un goût de printemps : puis vint le givre odeur cendre. À quoi les flammes se sont-elles accrochées avant de décrocher ? À l’espoir lorsqu’elles y croyaient. Puis à l’épuisement de leur vanité elles se sont tues. Les jambes une paire de ciseaux rouillées / rappelle-toi ces découpages gauches, pas trop sur le trait / quant aux doigts ils sont abasourdis ou déjà en after de choc, bleus comme bleus, s’agiter non, non. Pour peu ils se retrouveraient au sol à se confondre avec les vers, creusant dans la terre afin de rejoindre le noyau bouillant ; les vers les observeraient hébétés. Non les mains y tiennent trop et qu’importe qu’il n’y ait plus ces doigts étrangers à effleurer, il y a ce courant d’air.
Les alentours dévastés ne tourmentent pas les esprits qui rôdent et se rodent à la fin bien qu’ils ne l’attendent plus, peut-être est-elle déjà passée, genre hier matin. La fin peut passer comme un rider UPS. Les arbres qu’un vertébré passant par-là ne saurait dire si en eux coule de la sève ou du goudron, s’ils vivent ou s’ils ne restent que des troncs écorchés où cheminent des mites aux abois, sont comme des potences. Leur façade feinte mais un globe jeté en leur sein suffit pour remarquer que leur tapisserie se décolle, qu’elle s’arrache en un pincement et en lambeaux elle se tasse dans le fond, laissant sur les murs livides apparaître des plaies.

rappelle-toi ces découpages gauches, pas trop sur le trait / quant aux doigts ils sont abasourdis ou déjà en after de choc, bleus comme bleus, s’agiter non, non. Pour peu ils se retrouveraient au sol à se confondre avec les vers, creusant dans la terre afin de rejoindre le noyau bouillant ; les vers les observeraient hébétés. Non les mains y tiennent trop et qu’importe qu’il n’y ait plus ces doigts étrangers à effleurer, il y a ce courant d’air.
Les alentours dévastés ne tourmentent pas les esprits qui rôdent et se rodent à la fin bien qu’ils ne l’attendent plus, peut-être est-elle déjà passée, genre hier matin. La fin peut passer comme un rider UPS. Les arbres qu’un vertébré passant par-là ne saurait dire si en eux coule de la sève ou du goudron, s’ils vivent ou s’ils ne restent que des troncs écorchés où cheminent des mites aux abois, sont comme des potences. Leur façade feinte mais un globe jeté en leur sein suffit pour remarquer que leur tapisserie se décolle, qu’elle s’arrache en un pincement et en lambeaux elle se tasse dans le fond, laissant sur les murs livides apparaître des plaies. Bois mort, accueillant champignons et insectes PRONONÇANT des incantations divines que la brise qui cisaille transporte. Bois mort qui ne prête attention. Interlude de pluie. Les flaques sont des miroirs, les miroirs sont affreux, reflètent nombre de mensonges. Et la crainte, celle qui fait chuter les yeux comme deux pommes, celle qui anime la tête à l’idée terne, ce genre d’ampoule à basse consommation, que la foule remarquerait, en un regard, la prairie derrière le voile, plus vraiment prairie, devenue décharge, qu’à leur groin s’amasserait cette grasse odeur émanant du col de pneus en feu, tandis que des cafards dealeraient du câble et de l’électronique. Malheureusement un clavier sur lequel ne se trouvent plus les touches A R T U O M ne se fourgue pas en un claquement de doigts. Mais bon les doigts ne bougent plus. Plus trop besoin de clavier. Finalement intéressé.

-toi de salamèche sous la pluie / ou non ce serait fabuler, elles sont plutôt délivrées d’être arrivées au terme de leur tango éprouvant. Leurs pas de danse… résumons sèchement cela au vol d’une tulipe – part 2 – la part 1 est delete après infection – tulipe non pas zdamée par le vent mais forcée de se joindre à un bouquet. Qu’une tulipe et rien d’autre, une tulipe pas trop cousine avec les fleurs du mal, une tulipe – une tige un turban basta – qu’il faut vulgariser froidement pour que l’on se comprenne bien, pour que je me convaincs bien. Rationaliser pour éviter les remous. Leur dernier pas fût balourd comme du PLOMB. Qu’il fût aisé de virevolter quand le printemps avait un goût de printemps : puis vint le givre odeur cendre. À quoi les flammes se sont-elles accrochées avant de décrocher ? À l’espoir lorsqu’elles y croyaient.

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