quand dans la Misère…

Quand dans la misère je caressais ma peluche de Che’chaileurs (sourire d’ampoule survoltée sur mon abdomen) de mes vains rêves de gloire; la volupté (était-ce de la ferveur?) me choyait un habitacle de détermination. Perpétuellement affamé je me rationnais, nonnon pas assoiffé. Je pesais un souffle dont j’aimais imaginer qu’il sifflotait (toutdouxtoutdoux) : Yssam Rulco est un margouillat rose, S1mio-mustyk un gibbon malpoli… J’avais froid, non par économie : l’honneur me dictait des défis sacré que je me garde bien de questionner. Moi qui la fuyais, j’avais presque la sérénité alors, ne faisais-je que ce pour quoi je pensais exister. M’acquitter d’un devoir.

Je creusais mes valises la nuit pour maquiller mon regard d’ombres magiques afin de sonder les profondeurs. Fard à paupières naturel terreux et .Destroy au nom de ma destinée aimantée vers minuit où le monde n’est qu’un fantôme, anxieux espérant que le soleil chassera les fous, les illuminés, les excités, les inassouvis, les déçus, les insatiables, les drogués et les putes de ses trottoirs,

Spectre : Pourvu que le soleil les chasse! Pourvu que le soleil les chasse! Tel de mauvais esprits qu’effraie une lampe torche.

anxieux espérant la fin de ce rituel où il fait peau neuve, sous l’hydratation massive des désinhibés, des joueurs, des jouisseurs, des guerriers, des déshérités, ceux qui clamaient :
Je vais subvertir leurs cérémonies de douleur pour mon bonheur à mon plaisir. Malheur à qui n’apprécie comme moi le bruit des vers brisés, syncope de l’alcool versé. En ma gorge effusions vulgaires pour libations sauvages. En ma gorge effusions lyriques pour libations parodiques.

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