Le Masque de la mort bleue

Quelque chose à voir, ce courant d’air annonciateur de révélations quand tu lèves la tête, derrière toi ils sont tous, aussi défoncés. (au bout d’un moment) Y a pas de secret. Plus une âme ici qui ne soit tripée , ricane Oscar-WiseSkull tout bas à ta conscience, d’ici quelques heures .épuisées d’avoir évacué ces petites étoiles glacées. Sur la peau A! ce doit être la sueur, !O mais oui c’est ça cette sensation si agréable. Et comme ta main est chaude et chaque son si rond tel le dos d’un chaton.d’avoir brûlé toute une nuit et la marteler avec la force des puissances telluriques
de les avoir convoquées en soi Quand je croise mon visage, à la fontaine bondée où chacun est prêt à laisser sa place mue par cette gentillesse impie, je prends peur .un masque de mort dont j’espère qu’il s’évaporera au matin et toute cette tension. le masque de la mort bleue à la lennnnnteeeelennntelennte décompression le lendemain en un lonnlonnlonnlong soupir qui dégonfle mon cœur Chargé
mon cerveau Chargé
(et) mon ventre (de) malaxe(r) les bonds d’une armée de lutins

Chaque tendon de mon visage, et mes yeux injectés d’hypertrophie “Je crois que je vais devoir vomir.”
Et la vie de reprendre, fraîche de cette brume dissipée inscrite à jamais dans mes cellules assoiffées de dopamine. Je me dégonfle, tu extases ton front. Une nouvelle fois à la vitesse du son percer la stratosphère et voici l’espacecontenu tout entier dans tes atolls où pulse le sombre arc-en-ciel et sombre l’iris. Étrange, ce besoin de se droguer pour ne pas voir
l’endroit où nous dansons mais a better place

Le corps renversé la secte s’est propulsée en ouvrant la grue de nos doigts, index et pouce lâchaient le parachute dépassa la langue plongea dans la trachée passa le seuil et pIouuuTu ne peux pas t’empêcher de tous les trouver beaux, frères et sœurs, les idolâtres, de la grande communauté du parachute inversé, dont l’amertume jetel’aidéjà dit ne vient en bouche que le lendemain ; assécher ta gorge assécher ta pensée (enfin ! merci mon dieu d’avoir fait la terre si ronde et belle, un dos de chaton enrobé de caresse)
Si tu as quelque chose à dire, si tu souhaites tenter ta chance avec la dreadeuse à la mâchoire carrée le nez fin et douces taches de rousseur sur lesquelles il doit être si bon de s’étendre, D’étendre son corps et de blondir au soleil de ses cheveux, je me dois de vous avertir : demain matin à côté d’elle dans les draps de deux fantômes évaporés « Au petit matin », vous serez si seuls peut-être, deux accidentés d’une nuit immaculée. La chimie ayant offert aux hommes le fruit de la vie qui lui avait été dérobé par sa nature je me suis trouvé un nouveau d’yeux enfoui dans un pochon de gomme arabique il a l’apparence et la fonction d’un sel psychique fouettant les papilles spirituelles ; cependant il n’est pas bon de se prendre trop longtemps pour les wilis, la légende met en garde : on en meurt (transpercé) par l’aube rosoyante.

Devant l’iconostase (j’attrape ton bras “T’oublie pas de boire .? Bon”) ils s’agitent et enserrent des démons invisibles pour leur tordre le cou en un combat rituel dont les règles ne sont écrites nulle part, que sur quelques molécules (et) les réminiscences des grands singes.
La puissance chthonienne de tels lieux n’a jamais été quantifiée et l’énergie psychique pour avoir d’un côté son corps prêt à bondir et tenir entier en un tout cohérent, et son âme à déchirer tous les serpents de l’univers, jamais mesurée Mais je sens bien qu’ici se joue l’un des grands mystères de l’univers.Comment fais-tu pour ne pas éclater en lambeau ton visage sous la poussée des pensées en temps normal ?
« l’Habitude » Oscar-WiseSkull hausse, toujours les omoplates (peu convaincu quand il sonde ton âme). Cette petite fleur blanche guettait donc, comme la mante religieuse, les profondeurs inscrites sous nos visages, tendons-tendus à bloc et yeux sans paupières, qui ne se referment. et brûlent en plein jour devant le spectacle d’une clarté trop brillante, d’un jour trop clair, trop étincelant de la divinité en chacun de nous déchaînée et .crépitante sous l’épiderme de sa joie furieuse.

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