Saison 12 Pensant, À feu l’artifice de sa chevelure…
- ParS1mio-mustyk
- Déc, 22, 2017
- Romantique
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Sous-Lieutenand’ès Pontif : | Comme un de ces calendriers, chaque mois une nouvelle photo de nana à poil. |
Lorsqu’elle s’allongeait sur lui.
Sous-Lieutenand’ès Pontif : | Tous les clichés y passent, sur ton chiotte le membre suintant entre les palmes. |
Yssam Rulco : | lol, Que dirait ta mère si elle te voyait ? |
espacevideLorsqu’elle s’allongeait sur lui.juste au moment où leurs peaux allaient s’étendre l’une sur l’autre, elle tendait l’épaule, levait un bras élégamment plié au-dessus du (et la main sur le) tissu vaporeux. Elle tirait, lâchant son chignon de soie, une écume fuchsia et ses cheveux cascadent sur ses épaules cachaient les pointes de ses seins.
Les doux escarpements de ses côtes sur le rivage de son abdomen, le creux de son nombril ; et ses yeux en amande.
Sous-Lieutenand’ès Pontif : | Degrés de raffinement divers, du rip-off de p0rno aux photos de charmes « classes » |
Dernier accessoire qui, seul, la dénude,
Dernier accessoire qui, seul, la dénude, il pense mais je détaille : le scintillement de cette superficielle chevelure dans le creux de ses jambes bientôt salée par leur sueur, relève de cette même magie qui ilumine et fond la neige. Si nous posions la tête sur le lit ce serait des dunes soyeuses pas tout à fait opaques, quelques éclats y reflètent la lumière artificielle quand dehors ce sont lampadaires ou naturelle lumière. Quand dehors
Sous-Lieutenand’ès Pontif : | Différents arguments commerciaux. Il y a la marque de lingerieAmandeSuave, ou Perfum by Amandine, y a-t-il une différence ?, le best-off du magazine dont il pourrait s’agir d’une December issue ordinaire, il y a l’auteur/compositrice/interprète ou le plus franc « random pur » et pour femme : les dieux du stade. |
ce sont lampadaire ou naturelle lumière. Quand dehors c’est le monde, qui semble en descente perpétuelle tant il fait froid, tant il fait noir (dès quinze jusqu’à dix heures), tant la fontaine même est asséchée par les pouvoirs publics pour ne pas geler tant nous préférerions n’être/ne sommes que des termites en une colonie étagée pas tout à fait pointue, in–formée à peine creusée de fenêtres dans l’espoir qu’une lueur suffisante tombera sur la neige, pour éclairer un peu nos pas. et la fumée, qui nous échappe, notre énergie pour réchauffer tout l’univers.
Sous-Lieutenand’ès Pontif : | Encore que je suis à peu près persuadé qu’il n’y a que les pédales dans mon genre qui l’achètent. |
Offerte ses baisers avides.
Il ose alors seulement se redresser pour se coller Et toujours de cette même grâce sans retenue qui la caractérisait elle écartait cette écume gazeuse retombe doucement flottante encore (aucune urgence aucune braguette que la précipitation rend capricieuse, ils ne sont pas essoufflés) quand elle approche ses lèvres arquées d’impatience sur ses baisers à lui à vide un instant car
Sous-Lieutenand’ès Pontif : | Plus qu’aucune autre photographie elles semblent marquées par une mort ancienne, dirait-on: la chaire décomposée depuis longtemps. et Quelle solitude dans le creux de son regard(!)malentendu qui nous excite, s’y reflète l’objectif à peine posé déjà démonté, ça ne doit pas prendre plus d’une journée Une époque révolue tant ce sont des clichés éculés, vision ridicule, tant si tu regardes attentivement la retouche est low cost. |
il pense « mais le pire est encore à venir »
Fragments du moment #15, Références et plagiats
- Béni celui qui réveille les puits endormis car il puise à la source des songes.
- Cha va mal finir cthistoire je sens qu’à la fin il y en a un qui va finir cloué sur un grand bout de bois.
- La soirée du siècle on en parlera encore deux/trois milliers d’années plus tard.
- Le RSA pour un poète semble les prytanées modernes.
- Enchanté, pauvre, c’est ma profession.
- Zizi zizi y a des zizis dans mon pompier !